Voici trois fabuleux clichés extraits du Strait Times, à la rubrique petites annonces, qui me laisse penser qu’on a les problèmes que l’on mérite.
Très sérieusement nos amis du journal local ont donc consacré à cet ennuyeux problème près de trois petites colonnes. J’ai surtout beaucoup aimé l’anlyse des symptômes : gros ventre et diminution de la quantité d’excréments, ce qui, de fait, donne moins de boulot à la ménagère de l’aquarium. Mais ce que j’ai vraiment découvert c’est que le stress du poisson était en partie du à ses soucis d’intestins. Il faut le savoir. D’où l’analyse suivante : comment reconnaît-on un poisson stressé : listlessness; apathie, solitude et perte d’appétit…. Au moins on apprend du vocabulaire !
Cet article m’a ammené à une réflexion quasi métaphysique sur la psychologie piscicole : pourquoi un poisson se constipe t-il , y a t-il d’autres sources de stress du pauvre petit poisson?
Quelques éléments de réponses sont ci dessous proposés, qui appellent à un vrai débat :
– le poisson singapourien est trop bien nourri,
– il ne mange pas assez de légumes et de fruits
– l’incessant ballet du poisson dans son aquarium, pour distraire son propriétaire, est source de stress
– un stress insconcient et collectif du poisson qui craint son prédateur, l’homme, et sa canne à pêche.
– un éclairage extérieur défaillant, l’absence de bruits rassurants d’autres amis poissons.
– une formation défaillante du poisson à l’apprentissage de la zénitude attitude.
J’attends la suite de vos réponses avec impatience pour enclencher enfin un vrai débat !
Je cherche aussi des éléments de réponses sur la constipation de l’expatrié et des conséquences de cet état sur son niveau de stress, du à la perte des repères, à l’éloignement de sa famille, aux différences interculturelles, à l’absence de travail du conjoint qui suit etc etc…
En conclusion, je laisse la parole au fabuleux dessinateur des classified du Strait Time
Vos tartines